Newsletter ( suite 2 )
Ton corps te dit : Aime-toi ou ce que le "mal-a-dit" m'enseigne
Notre corps nous avertit des dysfonctionnements que nous pouvons générer suite à des événements qui nous ont marqués et que nous ne sommes pas arrivés à digérer.
Toute douleur chronique ainsi que tout mal-être installé dans le temps nous appellent à un changement.
L'objectif de ces newsletters est d'amener à une prise de conscience, préalable nécessaire pour pouvoir amorcer un changement.
Elles sont élaborées à partir du vécu des consultations ou du vécu personnel.
Prévenir plutôt que guérir - 13/11/2024
Nous sommes souvent pris dans la tourmente du quotidien, courant souvent pour accomplir les obligations de la journée. Et sans nous en rendre compte, nous puisons un peu à la fois dans nos réserves, oubliant de nous recharger correctement ou de nous ressourcer suffisamment. Le corps nous envoie alors des messages pour nous prévenir ( sommeil perturbé, stress chronique, fatigue récurrente ... ). Mais nous n'écoutons pas, bien souvent, car nous n'avons pas le temps ou nous pouvons encore tenir. Les informations anxiogènes délivrées par les médias viennent nourrir également une anxiété quant à la peur de l'avenir ( chomage, retraite, guerre ... ) si nous n'y prenons pas garde et ne prenons pas de recul.
D'où l'importance de ne pas attendre la dernière limite mentale ou physique afin de prévenir plutôt que de guérir.
Et pour cela, être vigilant quant à ces piliers de la régulation que sont le sommeil, l'alimentation et l'hygiène de vie.
Notre sommeil est-il récupérateur ? Dormons-nous suffisamment ? Ralentissons-nous le rythme avant d'aller dormir ? La chambre n'est-elle pas trop chauffée, trop lumineuse, pas assez sombre ? Chacun a des besoins particuliers dans ce domaine.
Notre alimentation est-elle équilibrée ? En fruits et légumes et en mets non raffinés industriellement ?
Bougeons-nous suffisamment dans la journée, la semaine ? en faisant régulièrement du sport ou de la marche.
Avons-nous régulièrement des temps de ressourcement rien que pour nous ( amis, sorties, voyages, activités ludiques ... ) ?
N'oublions pas que toute émotion de joie recharge nos batteries et renforce nos défenses immunitaires.
Des petits rituels peuvent nous aider à bien démarrer la journée ( quelques exercices de yoga, un café savouré tranquillement, un temps de méditation ou de recentrage sur ce qu'il y a de bien ou de beau dans notre vie ... ).
Il ne tient qu'à nous de ne pas nous oublier et de rester vigilant quant à nos besoins.
Qui guérit ? Le thérapeute ou le patient - 23/08/24
Depuis neuf ans que je pratique des soins énergétiques et que je suis confronté à nombre de pathologies ou mal-êtres différents, je me suis toujours posé la question de qui est à l'origine de la guérison. Est-ce le thérapeute avec sa palette d'outils ou le patient qui enclenche le processus de guérison ? Pour ma part, j'ai constaté au fil des années que le véritable guérisseur était le patient par son désir de guérir ; mon rôle se bornant à être celui de catalyseur de sa guérison.
La maladie étant pour moi un message que l'on s'envoie pour se signaler une problématique non résolue, il y a un sens à toute maladie et parfois la personne, de façon plus ou moins inconsciente, a plus d'intérêt à être malade qu'à rester en bonne santé. Car la maladie peut, par exemple, servir d'excuse pour éviter de faire certaines choses ou pour attirer l'attention de proches qui ne se soucieraient pas de nous autrement. Autrement dit, pour guérir, il faut le vouloir sous peine d'échec ou d'une récidive à terme. Pas simple j'en conviens.
Je me souviens de Lise Bourbeau relatant dans un de ses livres l'histoire d'une femme ayant un tennis elbow qui l'empêchait de jouer ses parties de double . Après investigation, la personne comprit qu'elle rechignait à jouer ses doubles car trop dans un esprit compétitif pour elle. Quand elle en prit conscience, avec l'aide de Lise, elle en fit part à ses partenaires de double ; proposant des parties sans enjeu et une compétition par mois. Ce qui fut fait. Résultat, son tennis elbow disparut rapidement car elle était à nouveau en accord avec sa conscience et elle avait retrouvé le plaisir de jouer avec ses partenaires.
Vous l'avez compris, nous sommes partie prenante dans le processus de guérison et un thérapeute, quel qu'il soit, ne pourra être efficace que si notre intention de guérir est la plus forte.
Pourquoi la maladie progresse en intensité - 01/08/2024
Nous sommes d'abord et avant tout énergie et une problématique ( décès, conflit, séparation ... ) non digérée va d'abord s'inscrire dans le corps énergétique par un déséquilibre avant de descendre en fréquence et de s'installer dans le corps émotionnel puis dans le corps physique.
Tant que le problème n'est pas solutionné, il y aura un blocage d'énergie au niveau des méridiens et à la longue une somatisation s'en suivra, plus parlante, pour la personne affectée par cette problématique non digérée.
C'est pourquoi il y a tant de récidives de maladies car si nous ne soignons pas la cause, alors la maladie réapparaîtra avec le temps puisque le problème n'aura pas été solutionné.
Par exemple, un conflit non résolu créera un mal-être qui s'exprimera, car nous ressassons le problème, par de la fatigue, de la colère par exemple puis cela pourra finir, si le conflit n'est pas géré, par une somatisation " cardiaque " si l'affectif est touché : bronchite, toux persistante voire une pathologie cardiaque.
La maladie reste un message que l'on s'envoie. A nous de le décoder pour acter les pas nécessaires pour un retour au bien-être.
Comment procède la maladie - 26/07/2024
Notre corps, notre âme nous indiquent les problématiques à résoudre par de nombreux signes avertisseurs ; de faible intensité au départ puis par des somatisations plus parlantes si nous ne les écoutons pas.
Ainsi un futur burn-out va d'abord se manifester par un mal-être et des insomnies ; premiers signes indiquant que nous ne sommes plus en phase avec ce que nous faisons et que la pression se fait trop forte. Si nous ne nous mettons pas à l'écoute de ses premiers signes avertisseurs, le problème va s'intensifier et s'inscrira dans le corps par le burn-out. Nous sommes brûlés de l'intérieur et le seul moyen alors de relâcher la pression est de se mettre hors-jeu pour récupérer et prendre du recul.
De même, je me souviens de cette patiente venue me voir pour la maladie de Lyme. Elle venait d'être récemment piquée par une tique. Il faut savoir que peu de tiques déclenchent la maladie de Lyme. Or les récents examens qu'elle avait faits indiquaient qu'elle était porteuse de la maladie. Dans ses antécédents, elle me fit part de fatigue chronique qui l'handicapait depuis un moment. Ses énergies montraient qu'elle s'empêchait de vivre ses rêves - ce que lui indiquaient sa fatigue chronique puis la maladie de Lyme - et d'acter les pas nécessaires pour se lancer dans les activités qu'elle rêvait de faire. Autrement dit, son corps lui montrait de façon plus insistante qu'elle s'empêchait d'avancer dans la vie.
Prenons donc le temps régulièrement de faire un peu d'introspection afin de déceler d'éventuels signes avertisseurs d'une problématique qui s'installe afin de vite revenir au bien-être ; notre droit naturel.
Principaux mal-être selon nos blessures émotionnelles - 31/05/2024
Selon la blessure émotionnelle que nous portons, nous sommes plus enclin à développer un certain type de mal-être ou de somatisation.
Ainsi la blessure de rejet déclenchera des problèmes de peau nous permettant de mettre l’autre à distance ( acné par exemple ), de diarrhée car la personne ne prend pas le temps d’assimiler l’information et la rejette au plus vite, d’évanouissement ( malaise vagal, vertige, coma ) pour fuir la réalité trop difficile à vivre, de dépression suicidaire ou de psychoses quand le mental prend trop le dessus.
La blessure d’abandon déclenchera des problèmes de dos car elle ne se sent pas en capacité de porter, d’assumer des responsabilités d’adulte, de maladies rares pour attirer l’attention et ne pas être abandonné, d’asthme dans sa difficulté à s’expanser, de dépression car elle sent trop de pression, d’agoraphobie par peur de la foule.
La blessure d’humiliation déclenchera des problèmes de dos car la personne porte trop, de coeur par excès de travail, de varices car elle est trop dans le donner, de foie car elle compense et se récompense par la nourriture.
La blessure de trahison déclenchera des problèmes du système digestif ( acidité par exemple ) car la personne contrôle trop, de maladies en « ite » telles que tendinite ou arthrite car elle se tend trop, de spasmophilie par perte de contrôle, d’agoraphobie par peur du regard de l’autre.
La blessure d’injustice déclenchera des problèmes de burn-out par épuisement, des problèmes sexuels car elle se bloque dans un désir de perfection, de maladies en « ite » telles que tendinite ou arthrite car elle n’écoute pas son ressenti, de constipation car elle retient trop, d’insomnie car elle n’est pas en phase avec son idéal de vie.
Notre corps envoie des signes avertisseurs. Prenons le temps de les écouter pour ne pas générer de problèmes qui finiront par nous empêcher de vivre et d'apprécier l'instant présent.
Etre égoïste ou prendre soin de soi - 15/03/2024
Etre égoïste ou prendre soin de soi
Et si nous commencions par nous remplir en premier pour pouvoir ensuite remplir l'autre ? Prendre soin de soi en premier pour bien prendre soin de l'autre par la suite ? Et si l'amour de soi commençait d'abord par être bien dans l'ici et maintenant avec soi ?
Je compare souvent l’être humain à une voiture qui a besoin de régulièrement aller à la pompe pour mettre du carburant dans le réservoir. Les personnes que je reçois ont été élevées dans la religion judéo chrétienne où on apprend qu’il n’est pas bien de s’occuper de soi car, dans ce cas, on est jugé égoïste. Les religions asiatiques, elles, parlent du Soi, indiquant qu’il faut en prendre soin en tout premier et qu’ensuite, on peut s’occuper des autres.
Si notre coupe est vide, comment peut-on remplir les autres ? On risque alors de s’é-puiser (il n’y a plus d’énergie dans le puits) et de générer moult frustrations. Le ressourcement est essentiel si l’on veut durer et cultiver la joie et le bonheur d'être de façon durable.
Problématiques et talents révélés par notre thème astral - 23/02/2024
Comprendre ses problématiques et connaître ses talents grâce à l'étude du thème astral
Selon moi, nous n'arrivons pas neutre en cette vie ; à savoir que nous héritons par le transgénérationnel de tout ce que nous avons cultivé en d'autres vies : le fameux karma si cher aux bouddhistes. D'ailleurs, je n'imagine pas que le hasard puisse être le seul décideur des talents que l'on a et des difficultés que l'on rencontre. Je pense plutôt que nous venons retrouver en cette nouvelle incarnation ce que nous n'avons pas réussi à résoudre en d'autres époques ; le fameux mauvais karma comme l'on entend souvent dire quand des événements douloureux frappent à notre porte ou que nous enchaînons les déboires. Or, le mot karma signifie : une cause, un effet. Nous avons donc également du bon karma ; à savoir les talents que nous avons cultivés. A nous donc de les retrouver, tel un sportif qui est doué dans sa discipline mais qui ne parviendra jamais à l'excellence s'il ne s'entraîne pas de façon intensive.
Notre intuition peut nous guider pour retrouver ces fameux talents mais il existe aussi des outils de connaissance de soi tel que le thème astral qui, non seulement, retranscrira nos zones d'ombre ou les fausses croyances que nous avons engrammées en revenant ici-bas ; croyances directement liées à nos blessures émotionnelles ( rejet, abandon, humiliation, trahison et injustice ) mais qui nous indiquera aussi de quels talents nous disposons pour résoudre ces problématiques et la meilleure voie de réalisation ( professionnelle , affective, familiale ... ) que nous nous nous sommes programmée.
Nous sommes bien plus maître de notre vie que nous ne le pensons.
A nous de prendre conscience de tout ce qui nous habite en bon comme en moins bon puis de le transformer par nos efforts et le travail sur soi afin de patvenir à nous réaliser en cette vie.
Le pouvoir de l'acceptation pour soigner nos maux - 13/02/2024
Nous sommes souvent confrontés, dans notre société anxiogène, au stress, nous demandant si nous serons capable d'assumer une charge mentale toujours plus forte ( boulot, gestion de la famille ... ). Nous oublions souvent alors que nos moments de ressourcement ( loisirs, vacances, temps de jeux ... ) sont essentiels pour garder un équilibre et mental et physique pour assumer nos tâches du quotidien.
La question qui se pose alors est pour moi la suivante : Comment prendre suffisamment de recul pour évacuer le maximum de stress et ne pas tomber dans l'étape suivante qu'est l'anxiété, voire la dépression car trop de pression sur les épaules. C'est à ce moment-là qu'un travail d'acceptation et de travail sur soi peut nous aider pour ne pas aller au delà de nos limites vers l'épuisement et in fine vers mal-être et somatisations.
Un exemple pour illustrer ma pensée. Nous avons tous plus ou moins ce que j'appelle une blessure d'injustice ; à savoir il nous faut remplir nos tâches du quotidien sans rechigner car c'est notre devoir et pour cela en coupant notre ressenti et les messages de notre corps ( fatigue, sommeil perturbé, digestion contrariée, migraine et bien d'autres pathologies ) qui nous avertissent que nous poussons trop loin la machine. Boire peu d'eau ou équivalent dans la journée est souvent un moyen de mettre à distance ce ressenti qui nous indique que nous avons besoin de poser, ne serait-ce que quelque minutes ou de ne pas oublier notre séance de yoga ou de sport qui permettent de relâcher la pression et d'évacuer une bonne partie du stress.
C'est bien en acceptant nos propres limites, physiques ou mentales, en ne cherchant pas à être parfait que nous pourrons faire un pas vers un mieux-être qui n'est en somme que le respect de soi ou encore l'amour de soi dans tout ce qu'il comporte de noble et juste. Il nous faudra peut-être prendre quelques décisions pour réajuster notre quotidien mais cela vaut le coup.
Car ne sommes-nous pas sur terre pour être heureux ? Notre bonheur, notre joie de vivre ne pourront alors que rejaillir sur les autres. Celà n'en vaut-il pas la peine ?
L'épine calcanéenne, reflet contrarié de notre idéal de vie - 04/12/2023
L'épine calcanéenne est une excroissance calcaire qui pousse sous le talon et qui rend la marche douloureuse.
Puisque l'épine atteint l'ossification, cela indique d'abord que le problème ne date pas d'hier mais qu'il s'agit d'une cristallisation dans le temps. Symboliquement, la personne qui vit ce problème n'est pas en accord avec son idéal de vie et ce depuis longtemps ; ce n'est pas le pied, comme le dit l'adage populaire. Rappelons que le pied exprime notre capacité à avancer dans la vie.
La personne n'a plus l'envie d'avancer dans la vie comme elle le fait actuellement. Un travail d'introspection est nécessaire pour que la personne identifie ce qu'elle souhaite vivre. Elle doit également se permettre d'agir pour acter ce qu'elle souhaite.
La maladie et ses signes avertisseurs - 20/11/2023
Notre corps est fait pour la santé et il se régule par lui-même lorsque c'est possible. C'est l'homéostasie, la recherche de l'équilibre.
Ce corps nous envoie des messages pour nous prévenir des déséquilibres du moment. Et notre intelligence cellulaire nous indique comment remédier à ces déséquilibres.
Je me souviens de ce rhume prenant quand j'avais 20 ans et de mon envie irrésistible de boire du thé au jasmin. Je ne connaissais rien des plantes à l'époque et ne savais pas que le jasmin pouvait être utile en cas de rhume. Ou encore cette amie souffrant d'un problème d'utérus et qui, chaque jour, avait besoin de sa dose de carottes crues. Jusqu'au jour où elle se fit opérer et enlever l'utérus. Suite à l'opération, elle cessa de manger des carottes. Elle n'en avait plus l'envie, ni le besoin sûrement.
Si nous prenons le temps d'être à l'écoute de notre corps, le retour à la santé en sera facilité car il nous signalera ce qui pose problème et parfois nous donnera des solutions simples quand cela est possible.
Par exemple, si j'ai mal au pied, c'est que je n'ai plus envie d'avancer ; en tout cas pas de la façon dont j'avance aujourd'hui car franchement, ce n'est pas le pied actuellement.
J'ai vérifié de nombreuses fois chez mes patients qui étaient en burn out, que les énergies de leur pied droit étaient bloquées car ils avaient besoin de poser, de s'arrêter pour relâcher la pression et récupérer.
Les mots disent les maux, comme le soulignait Jacques Salomé.
En cette période hivernale où nous avons particulièrement besoin de ralentir le rythme, sachons prendre ne serait-ce que quelques minutes par jour pour nous poser et nous mettre à l'écoute de ce corps, messager de l'âme.
Vivre au mieux avec son hypersensibilité - 13/10/2023
On découvre aujourd'hui de plus en plus de personnes hypersensibles et ce domaine est de plus en plus étudié. Parfois, les personnes hypersensibles le vivent comme une fatalité qui les rend plus fragiles, plus soumises aux montagnes russes émotionnelles, et pour laquelle elles ne peuvent que subir.
L'hypersensibilité est pourtant une chance, celle d'un radar ultrasensible qui permet de capter des ressentis subtils liés à l'environnement et aux autres. Elle peut devenir anxiogène si nous ne sommes pas bien ancrés dans l'ici et maintenant. Car l'hypersensibilité pousse à vivre dans l'idéal de perfection pour soi et pour les autres. Alors faut-il vivre selon cet adage " Un jour, j'irai vivre en théorie car en théorie, tout est parfait. " ?
Ou pouvons-nous plutôt utiliser notre hypersensibilité comme ligne de conduite pour faire advenir un monde meilleur basé sur la bienveillance envers soi et envers les autres ? L'utiliser comme un outil permettant de percevoir les mal-êtres et de voir quelle part de colibri nous pouvons y mettre. Tout en se respectant, c'est-à dire sans se sacrifier et en respectant le chemin de l'autre sans s'imposer en sauveur si l'autre ne nous a pas sollicité d'une manière ou d'une autre.
Pour ma part, j'utilise aujourd'hui mon hypersensibilité dans mon métier de soin pour aider l'autre à comprendre les messages que son corps, son âme lui envoient au travers de la maladie ou d'un mal-être. Et je remercie chaque jour cette hypersensibilité pour cette aide qu'elle peut apporter aux personnes qui viennent me voir et qui ne tardent pas à aller mieux ; ayant repris le contrôle de leur vie.
Quelle vision du couple je porte et que m'indique mon thème astral - 22/09/2023
Quelle vision du couple je porte et que m'indique mon thème astral.
Le thème astral, outil de connaissance de soi, révèle les schémas et croyances que nous portons en arrivant en ce monde.
Ainsi le soleil, image de l'homme et du père dans notre thème, va révéler notre vision de celui-ci. Mal aspecté dans notre thème, le soleil indiquera que nous avons du mal avec notre partie masculine ; celle reliée à notre estime de soi, à la confiance en soi, en l'autre et en la vie.
Si nous sommes une femme, nous aurons tendance à rechercher un homme qui confortera nos croyances tant que nous n'aurons pas conscientisé ces dernières. Cela pourra se traduire par un partenaire en qui l'on ne peut avoir confiance ou qui nous trompe.
Si nous sommes un homme, la confiance en soi, l'estime de soi manqueront que ce soit dans notre vie professionnelle ou parfois dans la quête amoureuse si cela est fortement engrammé.
La lune, image de la femme et de la mère dans notre thème, va refléter notre vision de celle-ci. Mal aspectée dans notre thème, la lune indiquera que nous avons du mal avec notre partie féminine ; celle reliée à notre sensibilité, à l'amour de soi, au plaisir d'être en famille ou d'en fonder une.
Si nous sommes un homme, nous aurons tendance à rejeter tout ce qu'incarnent la tendresse, la famille ; voire le besoin d'enfants dans sa vie.
Si nous sommes une femme, il peut y avoir rejet de la féminité et de tout ce qu'y s'y rattache.
Si l'on y rajoute les tensions au sein du couple de nos parents, que nous indique également notre thème, il y a fort à parier que le couple que nous construirons portera de nombreuses blessures qu'il nous faudra soigner sous peine d'échec de ce dernier.
Surcharge mentale et problèmes de santé associés - 16/07/2023
Nous vivons dans une société où la charge mentale est de plus en plus forte et tous les âges ainsi que tous les domaines ( professionnel, scolaire, éducation des enfants, sport ...) sont touchés.
On nous en demande toujours plus et dès le plus jeune âge. Notre société anxiogène nous rappelle sans cesse, par les médias entre autres, que l'avenir est insécure et que la pression qui est mise ou que l'on se met pour réussir est un incontournable si l'on veut s'en sortir. Notre société renforce ainsi, voire crée, une blessure d'injustice qui nous impose d'être parfait, toujours à la hauteur où l'échec n'est pas permis. Nous sommes conditionné(e) au regard de l'autre, cherchant son approbation. Notre valeur personnelle dépend ainsi de notre agir et des résultats que nous avons.
Comment ne pas être alors en permanence sous stress, sous tension pour ne pas faillir. Contrepartie à ce mode de fonctionnement : nous ne sommes plus à l'écoute de notre ressenti, de notre corps, messager de notre âme. S'en suivent toutes sortes de pathologies inhérentes aux tensions internes. Telles que tendinites car nous nous tendons en permanence, burn-out car nous nous épuisons, dépression car nous nous déprécions au bout du compte, sommeil perturbé car nous ne sommes plus en phase avec notre idéal de vie, digestion et transit intestinal perturbés car notre second cerveau, l'estomac, ne digère plus cette surcharge mentale.
Nous nous coupons de notre ressenti, de notre intuition, ne vivant plus en plein accord avec nous-même.
Quelle injustice n'est-ce pas ? Or le mieux n'est-il pas l'ennemi du bien ? disait Saint Augustin.
Tout est équilibre.
D'abord remplir sa coupe pour pouvoir ensuite remplir celle des autres ; d'abord s'occuper du Soi puis s'occuper des autres, disent les traditions orientales. Afin de ne pas rentrer dans un système de frustration et de mal-être à terme.
Prise de poids et blessures émotionnelles - 05/05/2023
Vous vous êtes sûrement déjà posé(e) la question, comme moi, du pourquoi est-ce si difficile de perdre du poids ?
Bien sûr, il y a les normes sociales d'un corps parfait ; le poids étant un des critères de cette perfection à atteindre, surtout à l'approche des vacances où on ne peut plus dissimuler ces kilos disgracieux.
Mais pourquoi est-ce si difficile de les perdre et n'y-a-t-il pas un rapport avec nos blessures émotionnelles, engrammées dans notre subconscient. Le physique est le premier message que l'on envoie à l'autre de qui nous sommes véritablement.
Un surpoids important ou blessure d'humiliation indique que nous avons du poids, de l'importance et ce poids manifeste un rempart, une protection qui indique que l'on ne veut plus être contrôlé(e).
Si nous avons, par contre, une blessure d'injustice et de ce fait un corps parfait selon les normes sociales, c'est que bien souvent, nous ne vivons pas en référence à nous mais en référence au regard de l'autre et de la société. Sans nous en rendre compte, nous programmons une tension intérieure, de perfection, qui rejaillira un jour ou l'autre sous forme de mal-être ou de somatisation ( burn-out, stress, tendinites ...) par exemple.
Une blessure d'abandon n'a pas généralement de problème de poids puisque son corps frêle envoie le message du " Ne m'abandonnez pas, je suis comme un enfant qui a besoin de votre soutien pour s'en sortir ".
Une blessure de rejet sera peu portée à prendre du poids puisque son corps indique une envie de fuir ou du moins d'être le plus transparent possible.
Enfin, une blessure de trahison pourra prendre un peu de poids, sans plus, car son intention, avant tout, est de manifester sa force par l'intermédiaire de son corps.
Alors, faut-il à tout prix se conformer à l'image sociale ou pouvons-nous nous accorder quelques kilos en trop ; preuve que nous sommes bien dans nos pompes ? De plus, en cas de disette, nos kilos nous serviront bien quant aux réserves qu'ils nous auront permises.
Les blessures émotionnelles chez l'enfant - 08/02/2023
Il y a chez l'être humain cinq blessures émotionnelles : rejet, abandon, trahison, humiliation et injustice. Nous en avons tous avec des dominantes.
Ces blessures, d'après les travaux de Lise Bourbeau, sont réveillées ou révélées, à des âges précis durant l'enfance, par nos parents car ils sont notre premier miroir.
Ces blessures apparaissent dans un ordre précis en fonction de l'âge de l'enfant et de son ressenti.
Ainsi, la blessure de rejet apparaît lors de la grossesse ou jusqu'à l'âge d'un an ; soit parce que l'enfant n'était pas désiré ou parce que ce dernier l'a ressenti comme tel. N'oublions pas que le bébé, dans le ventre de la mère, ressent toutes les émotions de cette dernière. L'enfant portera alors ce sentiment de rejet tant qu'il n'aura pas résolu cette problématique. Il sera de nature réservée, sérieuse, susceptible, plutôt solitaire et sera enclin aux problèmes de peau, à l'hypoglycémie et aux états dépressifs. L'enfant, pour sortir de cette blessure de rejet, a besoin d'être rassuré et de sentir qu'il compte dans ce monde.
La blessure d'abandon apparaît entre les un an et les trois ans de l'enfant, au moment du stade oral de son développement ; soit parce que ce dernier a été abandonné ou parce qu'il s'est senti abandonné, portant cette blessure en lui ( exemple : départ en vacances d'un des parents, départ qui est interprété comme un abandon ). L'enfant analysera alors les situations où on ne s'occupe pas de lui sous l' angle de l'abandon. Il sera de nature dépendante, de constitution plutôt chétive, réclamant de l'attention et sera enclin aux migraines et aux maladies auto-immunes pour qu'on ne l'oublie pas. L'enfant, pour sortir de cette blessure d'abandon, a besoin d'être nourri émotionnellement et de pouvoir compter sur les autres.
La blessure d'humiliation apparaît entre les un an et les trois ans de l'enfant par l'intermédiaire du parent qui s'occupe de son éducation. L'enfant, portant cette blessure, s'est senti indigne ( exemple : il rentre sale et se fait rouspéter d'être dans cet état ). L'enfant gardera ce sentiment d'humiliation, aura du mal à dire non et se sentira indigne d'être aimé. Il sera enclin à prendre du poids et à avoir des problèmes de dos ou d'épaule. L'enfant, pour sortir de cette blessure d'humiliation, a besoin de se sentir aimé et approuvé dans ses choix.
La blessure de trahison, quant à elle, apparaît entre les deux ans et les quatre ans de l'enfant, au moment de L'Oedipe car l'enfant s'est senti trahi amoureusement. L'enfant ne fera plus confiance. Il sera de nature contrôlante, facilement colérique, manquant d'estime de lui, cherchant à montrer sa force et sera enclin à des problèmes digestifs et aux tendinites. L'enfant, pour sortir de sa blessure de trahison, a besoin de se sentir en confiance.
La blessure d'injustice apparaît entre les quatre ans et les six ans de l'enfant, vers l'âge de raison quand il a ressenti qu'il ne pouvait pas vivre en fonction de ses aspirations mais qu'il devait se conformer à une éducation rigide qui lui indique ce qu'il faut faire. L'enfant se coupera alors de son ressenti, cherchera à être parfait dans tous les domaines et sera enclin aux problèmes de tendinites et au burn-out adulte. L'enfant, pour sortir de cette blessure d'injustice, a besoin de se sentir aimé pour ce qu'il est et non pour ce qu'il fait.
Libre arbitre et opportunités de changement - 26/01/2023
Lors du dernier cours d'astrologie que j'animais récemment, il avait été choisi de travailler sur le thème d'Hitler. Hitler, avant de se lancer en politique et devenir dirigeant de L'Allemagne, s'était lancé dans des études aux Beaux-Arts pour devenir artiste. Son ascendant balance, dans son thème, indiquait bien cette recherche du beau, de l'harmonie. Seul hic, les Beaux-Arts ne l'ont pas accepté et, en tant qu'autodidacte, il n'a pas réussi à être reconnu comme artiste. Cet échec non assumé, sur un fond de personnalité fragile, l'a fait choisir une autre voie, celle d'une revanche sur la vie, en adhérant au parti nazi et en utilisant ses talents d'orateur pour servir une cause égoïste et destructrice. Son soleil en taureau , dans son thème, lui indiquait un besoin de construire et de faire fructifier ses talents ; de se réaliser avec un souci de justice et de souci de l'autre ( autre signification de l'ascendant balance ).
Ne sommes-nous pas, nous aussi, confrontés, régulièrement dans les choix que nous avons à faire, à nous demander si nous agissons selon notre coeur ou selon notre égo?
En agissant en conscience, notre choix n'en serat-il pas que plus éclairé et notre libre arbitre plus opérant car les opportunités, qui se présenteront ou que nous aurons appelées, pourront servir la cause du mieux pour nous mais aussi pour les autres?
Bonheur et santé sont-ils liés ? - 31/12/2022
Notre corps est fait pour être en bonne santé et automatiquement, il va rechercher le retour à l'équilibre si on le lui permet. C'est l'homéostasie, bien connue des naturopathes. Cela se complique quand notre mental, relié à nos croyances inconscientes et nos peurs, ne croit plus à la guérison ou entretient le mal-être.
Quand je reçois des patients, je travaille toujours sur leur système de croyances qu'indique le chakra du troisième oeil à l'arrière de la tête. Et bien souvent, ce chakra est douloureux dans ma main ; transcrivant un sentiment d'impuissance, voire de vie synonyme de combat.
Récemment, j'ai reçu une dame qui avait des douleurs récurrentes. Elle était allée voir plusieurs thérapeutes qui n'avaient pu la soulager que quelques temps. Quand, lors de la séance de soin énergétique, je suis arrivé à son chakra du troisième oeil, celui-ci m'indiquait que la vie était souffrance et qu'il ne pouvait en être qu'ainsi. De ce fait, les résultats temporaires obtenus par les différents thérapeutes.
Nous programmons ce que nous pensons être notre vision des choses ; même si celle-ci ne nous rend pas heureux.
Il y a donc, chez tout un chacun de nous, un travail d'introspection à réaliser pour aligner santé et bonheur afin de ne pas tricoter dans un sens pour le détricoter de l'autre.
Lâcher prise ou renoncer - 27/11/2022
Je me suis longtemps interrogé sur ce que voulait dire lâcher prise et cru que, pour lâcher prise, il fallait laisser faire, voire renoncer à avoir des attentes. Sinon, il y a risque d'interférer et de bloquer par stress ou impatience.
Je constate aujourd'hui que je n'étais pas juste et que , si je n'agis pas, j'ai peu de chance de récolter.
Lorsque je reçois des patients en énergétique, leur chakra de la gorge, au niveau du dos, m'indique où ils en sont dans cette notion de lâcher prise et de confiance en eux et en la vie. Si le chakra est resserré ou douloureux, il est l'indication d'un stress, d'une peur de l'échec et, au final, d'un manque de confiance dans leur capacité à réussir ce qu'ils entreprennent.
En astrologie, c'est la planète Saturne qui bloque dans leur thème. Or, Saturne, c'est aussi Chronos, le Dieu du temps dans la mythologie. " Rien ne se fait sans le temps " comme le dit l'adage.
Alors, aujourd'hui, j'essaie d'appliquer cet adage en me donnant le temps, en prenant du recul et en étant confiant que tout ce que je sème et nourris donnera du fruit à terme. Et je constate, ma foi, que cela fonctionne plutôt bien.
Hypersensibilité et ancrage - 05/11/2022
Je reçois de plus en plus de personnes qui sont hypersensibles. Certaines en sont conscientes, d'autres pas ; ayant bloqué leur sensibilité de peur de ne pouvoir la gérer. Leur chakra coronal - au niveau de la fontanelle - est hyper ouvert ; témoignant de leur côté éponge.
Ces personnes sont généralement bienveillantes et culpabilisent facilement car se sentant responsables du bonheur de l'autre.
Cette hypersensibilité les fait passer par des montagnes russes émotionnelles car si ces personnes ne sont pas bien ancrées, c'est alors leur mental et toutes les peurs qui risquent de prendre le dessus.
Il faut donc veiller si l'on fait partie de la catégorie hypersensible de s'assurer au quotidien d'être bien ancré, c'est-à-dire de faire redescendre les énergies dans le corps : manger suffisamment - manger chaud ou boire chaud est aidant -, faire du sport régulièrement ou de la marche, bien dormir, surveiller ses pensées pour vérifier qu'on ne déconnecte pas de la réalité et des autres.
N'oublions pas que l'énergie va où nous nous activons. Si nous sommes trop dans la sphère mentale, nous risquons de perdre notre ancrage au risque d'être perché et d'activer les peurs.